


1925-2025 | une année avec Howard Phillips Lovecraft
Chaque matin, dans votre boîte mail, le compte rendu qu’en fait scrupuleusement Howard Phillips Lovecraft dans son «diary», avec traduction, analyse et contextes, plus un extrait du NYT du jour et des compléments iconographiques.
Accès à l’ensemble des archives plus les compilations mensuelles. Le projet sera quotidien jusqu’au 6 janvier 2026, date de sa décision d’un retour à Providence.
Prix lancement 19€ pour ce premier mois, n’attendez pas !
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historique
• au 1er janvier 2015, année dont les jours de la semaine sont identiques à celles de l’année 1925, je lance un blog où, chaque jour, je poste les notations logogryphes de Lovecraft pour ce jour précis, leur transcription en français (traduction avec dépli des abréviations), plus un commentaire et quelques éléments de contexte. J’ajoute à ces 3 éléments la traduction d’un article bref mais significatif pris au New York Times du jour (exceptionnelles archives numérisées depuis 1876...), et une illustration en général prise à ce même exemplaire.
• à l’été 2015, grâce à une aide de la Mission Stendhal, je passe deux mois à Providence, et j’accède au manuscrit même de ce journal. Période excessivement intense, je découvre aussi les trois versions manuscrites ou tapuscrites du Commonplace Book et le Carnet de 1933, le travail se démultiplie, je suis obligé de reconsidérer le travail entrepris autour du « diary » de 1925 dans un contexte plus large, et une masse tout aussi démultipliée de mon approche de Lovecraft ;
• tout au long de ces années, et les 9 volumes de traductions parus chez Points, l’idée du projet « Lovecraft 1925 » ne m’a jamais quitté — même parasité un temps par un projet très similaire de Bill Bryson, son « 1927 » qui m’a forcé à mieux cerner la spécificité du mien ;
• les films vus par Lovecraft, les livre qu’il achète et lit, les excursions seul ou en groupe, les témoignages et livres de ses proches tout au long de cette année (y compris le Mémoire sur la vie privée de H.P. Lovecraft que publie son épouse Sonia H Davis en 1947) : George Kirk, Frank Belknap-Long, Morton, Loveman... et la très dense documentation qu’y ajoute la lettre hebdomadaire, toujours très fournie, à ses deux tantes de Providence (l’édition S.T. Joshi des Letters from New York) donnent peu à peu à ces commentaires au jour le jour autant de bifurcations et compléments ;
• la masse aussi des ruptures techniques, l’irruption et massification de la radio, la transmission des photos à distance, les expéditions arctiques et antarctiques, l’exploration des fonds sous-marin, l’essor de l’aviation, donnent à l’imaginaire fantastique de Lovecraft un soubassement dont l’étude m’a paru tout au long de ces dix ans de plus en plus importantes, y compris au regard des ruptures technologiques actuelles ;
• alors, à un moment donné, il faut bien se décider à reprendre à bras-le-corps ce manuscrit de 700 pages — l’idée du travail, longtemps, ayant été de proposer pour chaque jour, dans un livre grand format, une double page selon le même principe que le blog initial. Chaque jour rien qu’un petit timbre-poste sur la vie et l’oeuvre de Lovecraft, et le contexte de l’époque, mais leur multiplication par 365 : le 31 décembre 1924, Lovecraft emménage dans son studio de Brooklyn, le 6 janvier 1926, il décide de son retour à Providence (voir notamment son récit « Lui ») ;
projet
• donc un double anniversaire : cent ans du « diary », et dix ans de mon propre projet Lovecraft 1925. Besoin de vous ? Oui, pour l’élan, pour la ténacité, pour aller au bout. À compter de ce 1er janvier 2025 (mais vous aurez accès aux archives quelle que soit la date à laquelle vous nous rejoigniez), chaque jour, ce dépli de la journée de Lovecraft, ce qu’il mange, s’il dort ou pas, qui il voit, ce qu’il lit, où il marche (même à sa moyenne de 20 km par nuit dans Manhattan et autour), et sa contextualisation. L’iconographie qu’on peut y associer. Le grand bain de l’époque ;
• et donc, chaque matin dans votre boîte mail, un PDF double page (un peu plus parfois selon le contenu), et, chaque mois, un recueil de l’ensemble des 28, 30 ou 31 jours du mois : ça vous va ?
• alors, immense merci pour votre soutien, et les échanges que nous aurons... si c’est Tiers Livre qui publie, à la fin du voyage, ce grand livre qui sera pour moi l’aboutissement d’un voyage Lovecraft entrepris le 26 avril 2010, vous bénéficierez bien sûr d’une réduction conséquente — pas de démarche de ma part pour contacter éditeur commercial, mais ouvert bien sûr à toute proposition, on verra en cours de route... de toute façon, un QRcode sur les e-mails vous donnera accès, comme pour mon projet Balzac, à un riche ensemble de ressources complémentaires et exclusives ;