Le deuxième livre est toujours le plus difficile à écrire
Reprise recopiée avec commentaires et making-of de «Limite», Minuit, 1985.
Édition cartonnée et reliée, 266 pages. Pré-commande et réservations, envois à partir 25 janvier (on rectifiera ici, si meilleur délai possible).
En 1985, à la Villa Médicis, j’écris «Limite», qui deviendra, aux éditions de Minuit, mon deuxième livre.
Quatre personnages à la frontière de l'adolescence et de la vie adulte, un concert de rock, un match de foot, un intérim de dessin industriel et la journée vide d'un chômeur – les monologues se croisent dans une ville de province devenue décor et théâtre. Un même personnage féminin, à l'arrière-plan, en permet toutes les tensions et croisements.
Le livre devenu indisponible, je le recopie sur mon ordinateur, et y insère l’ensemble de ce qui me revient concernant le making-of : alors le feuilleton de Limite s’insère dans Limite et lui confère sa forme enfin définitive.
Une balise principale dans mon trajet, mais comme un surgissement devenu énigme, conflit assumé à la ville prise bras-le-corps, expérience non reproductible.
Le titre choisi est une phrase prononcée alors par son éditeur, Jérôme Lindon.
FB